L’État doit-il être le principal acteur de la lutte contre les discriminations ?

L’État doit-il être le principal acteur de la lutte contre les discriminations ?

 

Découvrez dans le dernier numéro (accès gratuit) du Droit de Vivre – Le DDV, le magazine trimestriel de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, un grand dossier, « Combattre la discrimination raciale ». Y figurent notamment un entretien avec Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre socialiste, et une tribune de Sarah El Haïry, actuelle secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et de l’Engagement. Tous deux rappellent que dans la lutte contre les discriminations, l’État doit être le principal vecteur de l’égalité.

Dans le cas précis des discriminations au travail, des chiffres récents sont édifiants : ces discriminations touchent près d’un quart de la population active, notamment concernant l’apparence physique (40 %), le genre (40 %) et l’état de santé (30 %). Plus de 41 % des personnes interrogées disent avoir été victimes d’au moins un propos ou comportement sexiste, homophobe, raciste, lié à l’état de santé, au handicap, à la religion, sans compter les ruptures professionnelles et de parcours de carrière (Baromètre annuel du Défenseur des droits et de l’Organisation internationale du travail).

#Société de la connaissance # Liberté et démocratie # Protection Sociale #extrême droite #Zemmour

22/01/2022

Marie-Hélène Millot

Ancienne secrétaire de rédaction dans la presse magazine spécialisée et d’entreprise. Retraitée. Doctorante, université Sorbonne Nouvelle, Monde anglophone – histoire des États-Unis au XIX^e siècle, histoire africaine-américaine, guerre de Sécession.

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